(Je vous invite à lire Le Plan Divin: Partie 1 et ensuite, de lire les autres articles en ordre. Vous pouvez les trouver dans ma chronique ici. Belle lecture et j’apprécie toujours vos commentaires sous mes articles.)
Rire du cirque sanitaire
À l’automne 2021, ma flamme jumelle et moi commençons à trouver des façons créatives de rire du cirque sanitaire. Nous réalisons que nous sommes vraiment dans un film absurde au Québec et ailleurs dans le monde, mais que ce film est destiné à réveiller les gens. Quand nous connaissons les vérités, nous n’avons pas besoin d’embarquer dans les émotions ni la colère. Nous observons le tout avec compassion et avec détachement, sachant que le cirque ne peut pas continuer à l’infini. Toute chose à un début et une fin.
Un jour, mon amoureux m’encourage à faire une petite blague durant une promenade en vélo dans le parc de la Yamaska. Je trouve son idée bien drôle et je pense que ça pourrait faire des trous dans la matrice au Québec, donc j’embarque dans son idée.
Je me dirige vers les toilettes publiques du parc sans ma guenille faciale et je sais que cela va provoquer de fortes réactions parmi les femmes présentes. De nature, je suis une femme joviale et sociale, donc je prends un grand bonheur à sourire à toutes les dames qui se lavent les mains et qui me regardent avec horreur.
Elles partent, et une autre entre. Avec un grand sourire et beaucoup d’amour pour elle, je lui dis ceci : « Saviez-vous que c’est la journée pas de masque aujourd’hui? Oui, le ministre de la santé l’a annoncé ce matin. J’en profite pleinement. Vive la journée pas de masque! »
La femme me répond avec un vrai soulagement.
« Ah vraiment? C’est super ça, je ne le savais pas! Je vais aller le dire à mon mari au camping! »
J’entends mon amoureux explosé de rire à l’extérieur des toilettes publics en nous entendant. Nous passons le reste de la journée dans la joie, la paix et la légèreté. Nous venons de créer la journée pas de masque et dans notre monde, c’est la journée pas de masque tous les jours.
Affronter nos peurs profondes
Avec le temps et beaucoup de conversations avec mes guides la nuit, je commence à réaliser que cette plandémie est en place pour bien plus que ce que j’avais compris au tout début. C’est une belle et unique opportunité de faire face à nos plus grandes peurs :
* la peur du jugement;
* la peur de mourir;
* la peur de l’autorité;
* la peur de déplaire aux autres;
* la peur de l’emprisonnement;
* Etc.
Bien des gens vivent leur vie entière dans la peur sans réaliser qu’ils sont sous emprise de la peur. Comme Dan Millman nous explique dans son excellent livre Le guerrier pacifique (Éditions J’ai lu, 6 octobre 2009), « Vos peurs ne sont pas des murs mais des obstacles. Le courage n’est pas l’absence de la peur mais sa conquête. »
Autour de moi, je vois les gens s’enfoncer dans leurs peurs au lieu de les reconnaître, de les accueillir et de les transformer en amour. Je les vois courir dans toutes les directions et je réalise que bien des gens ne passeront pas à la prochaine étape de notre ascension. Car la clé centrale pour ascensionner est simplement l’AMOUR. L’amour envers nous en tout temps et aussi l’amour envers les autres en tout temps.
Si nous restons ancrés dans la peur, nous allons manquer le bateau vers cette Nouvelle Terre et nous allons rester prisonniers de la matrice pour un long moment encore. Il faut donc à tout prix affronter nos peurs les unes après les autres et ne jamais laisser la place à la peur de s’infiltrer dans nos pensées et notre cœur.
Cérémonie de feu
En chamanisme, le feu est souvent utilisé pour couper des liens toxiques, purifier un objet ou bien transmuter la noirceur en lumière. Aussi, quand nous brûlons un objet, cela signifie que nous désirons passer à la prochaine étape et arrêter de souffrir. L’objet, la personne ou la situation ont des liens invisibles que nous coupons en conscience, avec toute notre volonté.
En avril 2022, juste avant la fin du cirque des guenilles faciales au Québec, je ressens en moi un puissant appel d’organiser une cérémonie pour brûler ces objets diaboliques une fois pour toutes. En privé, je lance l’appel à mes amis et mes clients proches dans un courriel et je leur explique que le but premier de cette cérémonie est de couper les liens toxiques avec ces guenilles.
Le retour des gens est très enthousiaste et instantané. Tout le monde saute sur l’occasion de participer à cette cérémonie qui aura lieu en campagne, à un endroit secret et reculé. La journée est cédulée pour le samedi de Pâques, une semaine forte en énergie christique et bien spéciale pour moi depuis ma jeunesse. J’associe Pâques avec la joie, la liberté et la renaissance.
Environ 30 personnes sont présentes lors de la cérémonie de feu sacré. Chaque personne apporte une guenille faciale à brûler et quelques personnes apportent même des tests PCR à jeter au feu. Je demande aux gens de parler à voix haute pour exprimer leurs émotions face à cet objet, face à cette plandémie, et face à leurs souffrances.
Une petite fille de 10 ans se présente devant le feu avec son masque bleu en mains. Ma gorge se sert et je sens que je vais pleurer, alors j’essaie de me centrer et de l’accompagner dans son partage sans faire une scène publique.
« À l’école les gens sont dans la peur totale d’un virus et je ne comprends pas pourquoi. Je ne crois pas dans cette pandémie et je ne veux plus vivre dans la peur. Je veux respirer librement et vivre normalement, comme avant. Je suis tannée et je désire couper avec tout ce qui m’empêche de vivre! »
La jeune fille se met à pleurer et elle revient rapidement dans les bras de sa mère. Tout le monde est touché et ébranlé par son discours. Cette petite fille démontre un courage incroyable face aux autres élèves de sa classe, car elle est la seule non vaccinée.
Un autre jeune garçon jette une douzaine de masques dans le feu. Il ne trouve pas les bons mots pour exprimer sa tristesse, alors il fait juste dire, « Au revoir! »
Nous entendons plusieurs autres témoignages très touchants et bouleversants, dont l’histoire de Kevin et Amélie qui ont perdu leur maison suite à la perte d’emploi de Kevin. Il a refusé de suivre le troupeau et a perdu son emploi à cause qu’il a refusé les cocktails de noirceur obligatoires chez son employeur.
Marcher la tête haute
Durant les trois dernières années, j’ai croisé des anciens amis et anciens clients dans des lieux publiques et des magasins. Je les ai tous salué sans exception avec un sourire sincère et même parfois avec un câlin. La rencontre était toujours inconfortable mais je restais bien ancrée dans mon cœur et ma lumière, sans avoir peur du jugement de la personne devant moi.
Ma mère m’a enseigné très jeune de toujours marcher la tête haute dans la vie. Quand je vivais de l’intimidation à l’école secondaire, elle me répétait sans cesse : « Marche toujours la tête haute, Nora! Les gens s’attaquent à ceux qui baissent la tête. Ne sois pas une lâche dans la vie. Sois forte. » Même si ma mère ne comprenait pas la profondeur de ma souffrance face à l’intimidation, ses conseils m’ont quand même beaucoup aidé dans ma vie.
Marcher la tête haute ne veut pas dire de faire aux autres ce qu’ils nous font. Ça veut dire de ne pas perdre son pouvoir et son amour pour soi. Cela symbolise un être libre de la matrice et des programmes de peur autour de nous qui jouent sur toutes les stations. Garder la tête haute nous permet de préserver notre vérité, notre lumière et notre esprit dans un monde chaotique et illusoire.
Récemment, j’ai croisé ma cousine et son mari dans le bas du fleuve. Le mari m’avait publiquement insulté sur Facebook en 2021 lors d’une publication sur Donald Trump et la fraude électorale aux États-Unis. Il avait écrit que j’étais une « hostie de folle avec des théories de complots ». En voyant le mari dans la rue, j’ai gardé la tête haute et je l’ai salué en le croisant.
J’ai clairement vu son malaise.
Ce n’est pas à nous de baisser la tête dans ce monde. J’ai compris ceci il y a très longtemps au secondaire, quand des gars s’amusaient à voler mes choses et me faire trébucher dans les corridors. Ils cherchaient à jeter leur noirceur sur moi et à me faire tomber dans leur noirceur. Je ne pleurais jamais en public et je gardais toujours la tête haute devant ces injustices.
La vérité finit toujours par sortir
Quand j’avais 9 ans, j’allais souvent chez une amie à Otterburn Park après l’école. Sa mère faisait les meilleurs biscuits aux pépites de chocolat du monde! Après l’école, je courrais avec toute ma force physique pour arriver à l’heure pour la sortie des biscuits du four. C’était un moment très sacré pour moi.
Un jour, je voulais absolument manger plus que deux biscuits et j’ai spontanément inventé une histoire pour obtenir plus de biscuits. J’ai alors dit à la mère de mon amie que mon grand-père était mort récemment et que j’étais bien triste de son passage. Horrifié de cette nouvelle, la mère m’a tout de suite dit, « Mange tous les biscuits que tu désires, Nora! Pauvre enfant. Je suis tellement triste pour votre famille. »
J’ai mangé environ six biscuits et je les ai appréciés profondément. Mais à mon retour ce soir-là, mes parents m’attendaient avec les bras croisés dans la porte. Ma mère était furieuse.
« Comment as-tu pu mentir! Ton grand-père est vivant! »
J’ai commencé à pleurer intensément, car j’avais honte de mon mensonge.
« Je voulais tellement manger plus de biscuits, maman! » ai-je répondu, la tête baissée.
« Ne sais-tu pas que la vérité finit toujours par sortir, tôt ou tard? La vérité gagne toujours! » répliqua ma mère, avec sa forte énergie.
Après cet incident, je n’ai plus menti, en sachant que les mensonges nous apportent peut-être un plaisir momentané mais avec le temps, ils finissent toujours par nous rattraper et nous causer bien des problèmes dans la vie.
En passant, j’ai appris à me cuisiner mes propres biscuits aux pépites de chocolat peu de temps après cet incident et je peux vous dire que c’est toute une joie de pouvoir en manger autant que j’en veux maintenant! ✨